Nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère. Pas celle annoncée par Jean-François Delfraissy, mais celle du monde d’après. Car oui, il y a aura un avant et un après Covid. Cette crise, qui a su mettre en lumière les failles structurelles de notre société laissera des séquelles que nous ne sommes pas prêts d’oublier. Alors le cauchemar est-il derrière nous ? Quelle réalité allons-nous trouver en allant de l’avant ? Nous vivons aujourd’hui l’émergence d’un nouveau monde, entre espoir et désillusion.
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« Ils ne font pas ça pour nous emmerder »
Depuis le début de la pandémie, un certain nombre de mesures a été prise et j’en questionne aujourd’hui la cohérence sanitaire et l’orientation démocratique. Ces mesures et projets de loi, les voici :
– Dé-remboursement de l’homéopathie qui ne coûte pas un sous à la sécurité sociale (2021)
– Mise en cause de la Vitamine D dans un dernier projet de loi (2021)
– Interdiction de prescrire de l’Ivermectine par « manque de recul » (2020)
– Encadrement de la pratique de l’école à la maison à partir de 2022 (2021)
– Encadrement réglementé du survivalisme (2021)
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Mais :
– Suppression de lits à l’hôpital public, depuis avant et même pendant la crise sanitaire (2000-2020)
– Distributions de masques comprenant du graphène (2021)
– Le glyphosate, produit cancérigène, est toujours utilisé jusqu’à minimum fin 2022
– La consommation de tabac n’est toujours pas réglementée
– Administration régulière d’un produit intramusculaire sans recul aucun (2020)
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Douter du bien-fondé de ces mesures fait-il de nous des complotistes ?
Sûrement, mais mieux vaut conspirer pour une ère libre, qu’abnéguer à visage masqué.
Les références de ces différents textes sont dans mon kit d’argumentaire spécial crise (lien dans ma bio).
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2022 : le spectacle d’un déclin politique et citoyen en puissance
La liberté est conditionnée par une injection dont tout le monde sait qu’elle n’est au mieux pas efficace, et au pire dangereuse.
Partout dans le monde, les restrictions se lèvent petit à petit.
Des convois se forment et contestent les mesures liberticides mises en place par les gouvernements.
Mais en France, on les interdit.
Mais en France, on s’entête dans une politique jusqu’au-boutiste sans queue ni tête, dont tout le monde doute.
Et dans à peine quelques mois, ces tyrans des temps modernes vont annoncer un retour de la vie normale, en feignant octroyer ces libertés qu’ils nous avaient volées.
Un travail de calcul et de manipulation sous couvert de crise sanitaire et de pseudo-solidarité, qui a conduit des millions de citoyens à accepter, de manière consciente ou inconsciente, cette vie en cage
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Une vie où la défiance est le mot d’ordre
Une vie dirigée par la dictature l’hygiène
Une vie où l’on fait passer la distanciation pour de l’amour
Une vie ou la stigmatisation des uns, devient un acte de solidarité pour les autres.
Une vie où l’on instrumentalise les valeurs et on hiérarchise les peurs.
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Mais quel individu sensé peut accepter cette vie qui nous tue tous ?
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2022 : où est passé l’héritage des Lumières ?
2022 : qu’avons-nous appris de l’Histoire ?
2022 : quand allons-nous reprendre notre souveraineté corporelle et politique ?
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Nous sommes des millions, mais nous sommes apeurés.
ils sont une poignée, et aujourd’hui, ils ont gagné.
On peut bien dénoncer la dictature numérique de l’Empire du Milieu, ou s’offusquer de la persécutions des musulmans en Terre Sainte, nous assistons aujourd’hui à un déclin politique et citoyen en puissance.
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Des dérives et des traitements que nous n’oublierons pas
Ils vont faire coïncider la fin de la pandémie avec les élections, et j’entends déjà les nouveaux échos démago retentir : un bilan héroïque, une bonne gestion de crise etc…
Quand bien même, la gestion de crise n’étant pas un épisode facile pour des gouvernements, il est indispensable de garder en tête le désastre économique, social, et sociétal de ce quinquennat.
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Son moteur ?
Le mensonge et la culpabilisation
Sa stratégie ?
La création de l’espoir
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L’agent pathogène dont on parle depuis deux ans n’était qu’un subterfuge pour cacher sous le tapis les problématiques politiques non traitées, pour lesquelles ils ont été élus, tout en faisant passer en douce des lois plus liberticides et incohérentes les unes que les autres.
N’oubliez pas que ceux qui vont s’ériger en héros nationaux en supprimant la crise sanitaire sont capables de vous la remettre une fois réélus.
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Ce sont les mêmes qui décident de faire passer des citoyens du rang de héro en zéro, qui du jour au lendemain peuvent décider de vous faire administrer 5 doses contre deux quelques jours plus tôt, de vos enfermer, de vous empêcher de travailler, ou de masquer et traumatiser vos enfants de manière inconsciente, et dont les séquelles ne seront pas anodines.
Ce sont eux qui changent les indicateurs et les chiffres comme ça les arrange.
Ce sont eux qui détournent la vérité en créant des rubriques de news checking dans des médias de renom.
Ce sont les garants de la bienpensance et de la légalité.
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Mais certainement pas de la légitimité
Mais certainement pas de la santé
Mais certainement pas de la liberté
Beaucoup auront la mémoire courte, mais mes plaies restent encore ouvertes.
Je n’oublierai pas.
Et vous, qui pensez à votre avenir, vous n’oublierez pas.
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Conclusion : la fin des pantins
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Je suis de plus en plus effarée par la société dans laquelle je vis : un monde régit par des conflits d’intérêt et dont l’indépendance financière tend à disparaître.
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Et voici quelques exemples concrets :
– Une crise sanitaire sur fond de psychose, orchestrée par des politiques à la merci de puissants lobbies pharmaceutiques
– Une politique de santé publique compromise par l’intervention de lobbies de l’industrie agro-alimentaire
– Une classe politique qui ne se renouvelle pas et dont la pensée formatée ressort des grandes écoles dont ils sont tous issus
– Des médias diffusant une information partiale, détenus par une poignée de milliardaires
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La crise sanitaire m’a fait prendre conscience d’une réalité qui existait déjà mais qui m’indifferait alors.
Aujourd’hui, je n’arrive plus à fermer les yeux.
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Suis-je devenue plus radicale ? Je le pense.
Mais cette radicalité m’a permis d’affirmer des valeurs de plus en plus fortes à mes yeux (dont la justice, la liberté et l’indépendance font partie).
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Des valeurs en opposition avec le système politique dans lequel je vis et notamment le rôle de l’Etat protecteur dans mon quotidien de citoyenne.
Des valeurs qui m’ont également éloignée de proches avec qui le fossé s’est creusé petit à petit. Plus subtile qu’une rupture brutale, c’est un éloignement tacite.
Des valeurs qui ont également influencé mon mode de vie en révisant mon mode de consommation culturelle et alimentaire.
Des valeurs qui m’ont permis de m’émanciper de la pression sociale en assumant ne plus chercher à faire bonne impression ou briller en société (fini la quête de CDI, de gagner toujours plus d’argent, de rentrer dans tous les clous d’un chemin qui a été pavé pour nous).
Nous sommes aujourd’hui les pantins d’un monde dont j’observe les ficelles.
Si la prise de conscience peut-être violente, elle permet toutefois de poser les bases d’une nouvelle vie fondée sur des valeurs personnelles fortes. C’est pas à pas que nous reconstuirons une vie à notre image. C’est aussi cela la résilience.
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