Depuis un peu plus de six mois, le vaccin est devenu la solution unique et miraculeuse de sortie de crise. D’abord limité à une frange de la population, il est aujourd’hui le pilier d’une stratégie autoritaire visant une sacro-sainte immunité collective, elle-même remise en question. L’orientation que prend le gouvernement français tend à vacciner massivement et aveuglement la population, quoiqu’il en coûte. Mais à l’heure où l’immunité collective est devenue une illusion, la vaccination comme solution privilégiée de sortie du tunnel apparait comme une nouvelle manipulation pour justifier des mesures liberticides et mater des contestations de plus en plus nombreuses.
La croyance en une théorie unique : l’immunité collective
On ne pourra atteindre l’immunité collective qu’en se vaccinant tous
On ne cesse de brandir l’argument de l’immunité collective pour inciter un maximum de Français à se faire vacciner.
Or, cet argument, imbibé de culpabilisation, interroge :
🔸 A-t-on, dans le passé, vacciné toute une population pour un virus dont la létalité était aussi faible par le passé ?
🔸 Si la majorité des citoyens ne développe pas de forme grave, pourquoi ne pas faire confiance à notre système immunitaire pour combattre les virus ?
🔸 Pourquoi ne pas prévenir les comorbidités grâce à une politique de santé publique ?
🔸 Pourquoi ne pas avoir injecté de l’argent dans l’hôpital public depuis le début de la crise pour désengorger les services de réanimation ?
🔸 Si le vaccin protège contre les formes graves, pourquoi ne pas adopter une stratégie vaccinale ciblée ?
🔸 Si certaines personnes ne peuvent pas se faire vacciner pour des raisons de santé, comment faisait-elle avant le Covid ?
🔸 Etant donné que la vaccination ne protège pas contre les contaminations, comment atteindre une sacro-sainte immunité ?
🔸 Si les contaminations n’engendrent pas de hausse d’hospitalisation ni de décès, pourquoi faire tout un patacaisse de cette 4ème vague (de cas)?
🔸 Au regard des pays dont la couverture vaccinale est plus élevée que la notre et dont les restrictions reprennent de plus belle, comment avaler ce chantage au retour à la normale et à la liberté ?
🔸 Que penser de la vaccination des moins de 30 ans dont l’équation bénéfice/risque personnelle est mauvaise ? Ou des femmes enceintes dont les phases de test démarrent à peine ?
🔸 Que penser du délai plus que court entre la mise sur le marché CONDITIONNELLE du vaccin et l’obligation vaccinale pour une situation d’urgence sanitaire qui n’est est plus ?
🔸 Pourquoi l’OMS a-t-elle changé sa définition de l’immunité collective entre novembre et décembre 2020 (voir post de @balancetout__
Encore une fois, les incohérences sont nombreuses.
Après le port du masque et les confinements à répétition, l’immunité collective est le nouveau levier de culpabilisation du citoyen.
Le gouvernement fait chaque jour un pas de plus dans le grossier.
Les citoyens, une avancée de plus dans un sommeil hypnotique.
Mais après le sommeil, vient l’éveil.
La roue tournera. Et le citoyen reprendra ses droits 💪
Si on se fait tous vacciner, ils vont nous laisser tranquille
Une des phrases que j’entends régulièrement. Le problème, c’est que quand on leur donne le doigt, ils nous mangent le bras.
Ça commence par un vaccin (vendu comme une potion magique), puis un passeport sanitaire, puis des applications de tracking, puis un conditionnement de nos libertés sous condition de vaccination.
Donc non, « ils » ne vont pas nous laisser tranquille après un vaccin.
Rappelons aujourd’hui que :
Si vous êtes vaccinés, vous ne l’êtes pas contre le confinement.
Si vous êtes vaccinés, vous ne pouvez toujours pas faire abstraction des gestes barrières.
Maintenant, parlons santé :
– Ce vaccin a à peine quelques mois de circulation. Il est donc impossible de savoir si des dégâts sanitaires collatéraux ne vont pas en résulter : on constate déjà aujourd’hui des cas de thrombose, de caillots et même de morts.
– Ce vaccin n’a pas été testé sur la stérilité, et une partie du corps médical et politique met le holà sur le sujet. Pas étonnant que certains pays de l’UE, et une partie des pays asiatiques refusent la vaccination de masse.
Donc plus, on accepte sans broncher, plus nous leur ouvrons un boulevard.
Comme un proverbe espagnol le dit si bien » “Cría cuervos y te sacarán los ojos »
« Moi, je me vaccine pour les autres »
C’est un argument que j’entends régulièrement. Et je ne vais pas vous mentir, ça me fait un peu tilter.
Pour moi, la santé est quelque chose de personnel : on se vaccine pour soi, en étant conscient du rapport bénéfice-risque. Pas pour protéger les autres.
Si les autres veulent se protéger, ils peuvent aussi agir pour leur santé :
– En se faisant vacciner s’ils le souhaitent
– En boostant leur système immunitaire naturellement
– En s’isolant s’ils ont peur
Je pense qu’en temps de pandémie, il serait plus intéressant d’apprendre aux individus à prendre soin de leur santé, que reposer sur une pseudo-solidarité qui paralyse 97% de la population mondiale, qui elle est aujourd’hui en bonne santé.
Rajoutons à cela que cet argument est très culpabilisant : il implique que ceux qui ne se vaccinent pas, sont des irresponsables, tout comme ceux qui ne portent pas de masque.
Et c’est le problème de cette sur-médiatisation du vaccin : une grande partie des vaccinée est fière de montrer qu’elle a eu sa dose.
Les politiques et les entreprises encouragent elles aussi à la vaccination en échange de goodies pour certaines.
Avec une telle pression, le vaccin devient le nouvel acte citoyen, comme l’est devenu le masque.
Mais n’oublions pas le temps d’avant le Covid :
– Qui affichait son carnet de santé sur les réseaux sociaux ?
– Qui blâmait ceux qui ne donnaient pas leur sang dans un contexte solidaire ?
Alors remettons les choses au clair :
– La santé est personnelle, et nul ne devrait ressentir de pression extérieure pour suivre un traitement
– La citoyenneté est un acte de vivre ensemble du quotidien, qui permet de participer à la vie de la Cité : la santé étant personnelle, elle ne doit pas constituer un devoir civique (et je pense d’ailleurs qu’on devrait parler de droit civique plus que de devoir, car prendre part à la vie citoyenne devrait être un choix et non une obligation…mais c’est un autre débat).
Alors pour faciliter ce vivre ensemble, arrêtons de cristalliser ses tensions sur fond de santé personnelle, et intéressons-nous plutôt à ce qui nous rassemble :
A l’heure du déconfinement, notre vie sociale et culturelle serait un bon point d’entrée 🙂
La dédramatisation des effets secondaires de la vaccination
« On a un siècle de recul sur ces vaccins »
Sur quel vaccin ? Avec quelle technologie ? A quelle échelle ? Sur des humains ?
Avec une obligation vaccinale ?
J’ai vu cet argument revenir sur les réseaux sociaux : on a du recul sur les vaccins alors arrêtez de chipoter.
Ce n’est pas parce qu’on maîtrise la technologie en théorie, qu’on a du recul sur des populations entières.
Ce n’est pas parce que les vaccins ont sauvé des vies, qu’ils sont utiles à tous.
Ce n’est pas parce qu’on est en « pandémie », qu’il faut forcer les populations à se vacciner sans consentement libre et éclairé.
Mais rappelons un peu l’histoire de l’obligation vaccinale française, de la mise sur le marché à l’obligation vaccinale :
-la diphtérie : Mise sur le marché en 1923 ➡ vaccination obligatoire depuis 1938
– le tétanos : Mise sur le marché en 1926 ➡ vaccination obligatoire en 1940
– la poliomyélite : Mise sur le marché en 1955 ➡ vaccination obligatoire en 1964
👉 Aujourd’hui, il existe un vaccin commun pour ces trois virus (DTP)
S’ajoutent depuis 2018, 8 vaccins obligatoires chez les nourrissons :
– l’haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites) Mise sur le marché en 1992
– la coqueluche : Mise sur le marché en 1926
– l’hépatite B : Mise sur le marché en 1982
– la rougeole : Mise sur le marché en 1966
– les oreillons : Mise sur le marché en 1966
– la rubéole 1966 : Mise sur le marché en
👉 Aujourd’hui, un vaccin commun (ROR)
– le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) : Mise sur le marché en 2010
– le pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites) : Mise sur le marché en 2013 (mais des vaccins existent depuis 50 ans)
Des vaccins restent non obligatoires comme :
-la grippe : vaccin élaboré en 1937 (avec variants)
-la rage : vaccin élaboré 1885
Et bien sûr, gardons en tête qu’avec notre gouvernement actuel et les conflits d’intérêt qui le lient aux labos pharmaceutiques, nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle stratégie vaccinale ou tout simplement de nouvelle lubie thérapeutique.
La santé personnelle doit être évaluée sur le long terme
La santé publique ne doit pas être une affaire d’urgence
Ne cédez pas à la panique
« On peut se faire la bise, moi je suis vacciné »
Plus de la moitié de la population française a reçu sa deuxième dose de vaccin. Ce schéma vaccinal complet s’accompagne d’un sentiment d’invulnérabilité, attisé par des actions gouvernementales radicales :
– Le vacciné protège les autres
– Il est dispensé de quarantaine
– Il est dispensé de tests
– Il peut entrer dans des lieux clos sans masque grâce au fameux « sésame »
Difficile de ne pas se sentir indestructible quand de telles mesures vous confortent dans ce sentiment.
Pourtant, on le sait :
– La vaccination n’empêche pas la transmission du virus
– L’immunité collective est un leurre
– La levée des gestes barrière pour les vaccinés n’a aucun fondement scientifique
– L’immunité naturelle reste la plus efficace pour lutter contre un virus
Ne soyons pas dupes, 90% des vaccinés l’ont fait pour retrouver leur vie d’avant, et non par altruisme.
La virulente campagne de vaccination gouvernementale sous-estimant les effets secondaires de la vaccination a d’autant plus accélérée les prises de rendez-vous.
Mais si peu de nous sont médecins, scientifiques ou virologues, nous sommes tous capable de construire une réflexion logique : celle du bon sens.
Et le bon sens en dit beaucoup sur cette stratégie vaccinale :
– qui est trop contraignante pour être honnête
– qui n’est pas justifiée compte tenu des chiffres de l’épidémie
– qui est discriminatoire envers une partie de la population
– qui omet les risques liées à un vaccin en phase d’essai thérapeuthique
– qui omet la prévention grâce au renforcement de l’immunité naturelle
Alors, vous êtes certes des demi-dieux sur le papiers.
Mais lorsque 99% de la population sera vaccinée et que de nouveaux variants menaçant feront surface, allez-vous vous questionner sur votre part de responsabilité ?
La pression vaccinale au quotidien
Les réas sont occupées par des non vaccinés
Les réas sont principalement occupées par des patients non vaccinés
Elles sont surtout occupées par des personnes aux fortes comorbidités !
On entend souvent dire que les réa sont occupées par des patients non vaccinés. Peut-être, mais il serait pertinent de s’intéresser au profil de ces patients : quelle est leur moyenne d’âge ? Ont-ils des comorbidités ? Doit-on en conclure que toute personne non vaccinée va atterrir en réa si elle est positive au Covid ?
Dans l’ensemble des articles qui pointent du doigt ces non-vaccinés en réa, peu mentionnent leur état de santé ni leur profil. Or, on sait, d’après les statistiques de Santé Publique France, que les moins de 40 ans se retrouvent moins en soin critique que les tranches d’âge plus élevées. Que les personnes en surpoids ont également plus de chance de finir en réa. Alors pourquoi ne pas se focaliser sur ces comorbidités en priorité ?
Certes, une part plus importante – mais néanmoins minoritaire – de profils plus « jeunes » se retrouve en réa, mais cela signifie-t-il que leur balance bénéfice-risque pour la v4x1nation est bonne ? Qu’en est-il des femmes enceintes ? Et des enfants ?
A l’heure où l’immunité collective est remise en question par une partie du corps médical, la vaccination aveugle peut elle aussi conduire à des complications non négligeables chez des profils dont les anticorps auraient fonctionné naturellement contre le virus et ses variants.
Enfin, notons que des pays plus en « avance » sur la vaccination, comme Israël, que les vaccinés sont majoritaires en réa, et que les contaminations proviennent autant des vaccinés que des non v4x1nés.
Tu vas devoir te faire vacciner pour voyager
La semaine dernière, j’ai eu un petit coup de blues passager. J’étais heureuse de retrouver mes amis parisiens qui m’ont demandé quels étaient mes plans pour les prochains mois.
Je leur ai donc parlé de mes projets de voyage, et là, tous m’ont sorti cette même remarque désagréable : « tu vas devoir te faire vacciner pour voyager ».
J’ai ressenti un mélange d’agacement, de déception et de désespoir.
Agacement, car comme le répète si bien @anneclaire_meret « le vaccin n’est pas obligatoire, le vaccin n’est pas obligatoire, le vaccin n’est pas obligatoire »
Déception, de voir mes proches se faire vacciner alors qu’ils n’ont pas de comorbidité, et qu’ils le font soit par devoir civique (participer à l’immunité), soit par anticipation de futurs voyages (attention, je ne leur jette pas la pierre, et je sais que dans le cadre de voyages professionnels, démissionner pour refus de vaccination reste une lourde décision)
Désespoir, car je suis une éponge, et que les pensées négatives des uns, peut avoir des répercussions sur mon mental, ou j’ai vu pendant l’espace d’un instant, tous mes rêves et projets s’écrouler.
Puis, c’est en échangeant avec des amies (@r.eveille.toi et @nellydancer ) que je me suis ressaisie :
1/ le vaccin n’est pas obligatoire, et la tendance ne va pas dans ce sens (la consultation quotidienne du site tourdumondiste.com, me le prouve)
2/ les variants sont tellement mutants, que les vaccins actuels vont finir par devenir obsolètes.
Voici donc la leçon que je tire de ces conversations : l’univers me teste pour savoir si je suis bien droite dans mes convictions.
Et malgré les peurs et les doutes…je le reste ! 😀
Conclusion : comment aider vos amis à choisir de manière éclairée
On ne cesse de le répéter : cette crise divise.
Mais au milieu de deux camps bien polarisés, il y a les hésitants, les indécis, ceux tiraillés entre leurs valeurs, et la peur de ne plus pouvoir payer leurs factures demain, de se faire sanctionner pour ne pas obéir aux injonctions du gouvernement ou encore par crainte d’une forte exclusion sociale.
Ces peurs sont légitimes.
Moi-même, jeune, indépendante sans enfant à charge, je ne demande pas que tout le monde prenne les mêmes risques de moi. Car je le sais, j’ai une situation privilégiée (qui est le fruit d’un choix, mais passons)
Alors si vous avez autour de vous, des proches perdus, et tiraillés entre leurs peurs et leurs valeurs, voici quelques « bonnes pratiques » :
❌ Evitez de lui envoyer la dernière vidéo « complotiste » non sourcée que vous avez vue
❌ Évitez de lui dire que le Gouvernement ne veut pas notre bien
❌ Evitez de le traiter de mouton et vous positionner en « éclairé »
En revanche, vous pouvez :
✅ Échanger avec lui sur les raisons qui le poussent à le faire
✅ Échanger avec lui sur la notion d’immunité collective
✅ Utiliser les mêmes sources et références scientifiques que lui pour lui montrer des courbes et des chiffres
✅ Lui envoyer mon petit kit d’argumentaire spécial crise (lien dans ma bio)
J’ai mis plus d’un an pour arriver à développer mon positionnement actuel. Certains diront même que je ne vois pas encore tout l’envers du décor.
Alors soyez empathique et allez-y en douceur !
👉 Si vous souhaitez reprendre en main votre santé et votre vie dans un contexte de crise, ma formation Reprendre sa vie en main dans un contexte de crise peut vous correspondre !