Depuis le début de la crise, on nous martele que l’immunité collective sera LA solution unique pour en finir avec ce virus. Tout récemment, de nouvelles études et de nouvelles voix scientifiques s’élèvent contre cette théorie pour la remettre en cause. L’immunité collective vaccinale est un leurre. Dès lors, on peut s’interroger sur la manière dont chacun peut se protéger à titre individuel contre un virus. Et c’est là que l’immunité naturelle entre en jeu. Or, depuis quasiment deux ans, aucun discours officiel ne va dans ce sens. La santé naturelle, l’activité physique, le sommeil et le stress ne sont pas considérés comme des leviers de l’immunité. Et pourtant, face à une stratégie vaccinale bancale, cette approche prend pleinement son sens.
Alors, comment renforcer notre immunité naturelle ? Dans cet article, je vous livre quelques conseils pratiques et simples à mettre en place.
Comment renforcer votre système immunitaire naturellement ?
Depuis le début de la crise sanitaire, je n’ai jamais vu la couleur du virus. Il y a quelques semaines, j’ai réalisé que j’avais consommé du zinc et de la vitamine D régulièrement pendant cette période.
De manière générale, j’ai une bonne hygiène de vie grâce à une alimentation diversifiée et équilibrée, mais également une pratique sportive quotidienne.
Le sport, l’alimentation, le sommeil et le stress sont les 4 paramètres fondamentaux pour renforcer votre immunité naturelle au quotidien.
Concrètement, voici comment agir sur ces leviers :
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– Pratiquer une activité physique régulière (j’ai carburé avec la course à pied et le Hiit pendant le premier confinement)
– Manger des produits non transformés et variés (j’ai perdu 4kg pendant le premier confinement en combinant sport, et alimentation : moins de glucides, plus de protéines (en les variant), plus de légumes, moins de sucre, suppression des produits transformés, limitation de l’alcool (le diable c’est les skype apéros), sport à jeun, et quelques jeunes intermittents aujourd’hui)
– Limiter le stress : arrêter d’écouter les infos en continu, ça vous enlève du stress inconscient. L’écoute d’info en continu m’avait créé un dérèglement hormonal terrible, que j’ai pu régler en coupant toute info (alors que jusque là, l’écoute des infos ne me faisait ni chaud ni froid), en écoutant des sons binauraux, et en travaillant sur ma digestion (un naturopathe peut grandement vous aider). Enfin, changez d’air si vous le pouvez (j’ai quitté Paris au deuxième confinement).
– Arrêter de penser que les solutions toutes faites vont vous aider à régler vos maux : somnifères, antidépresseur, vaccins sortis du chapeau, antibiotique automatique…Je n’ai pendant longtemps pas questionné cette médecine « dure ». Aujourd’hui, voyant que seule ma naturo faisait des liens entre mon mental et mon corps, et m’apportait des résultats concrets, j’ai pris mes distances avec les pilules magiques.
Je ne prendrai pas un vaccin sans prise de recul, alors que je suis en bonne santé.
Je ne prendrai pas de somnifère quand on peut prendre de la mélatonine
Je ne prendrai pas de traitement de surface pour la peau, quand on sait que le problème vient principalement des intestins
Je ne prendrai pas de doliprane si je sais que mon mal de tête est lié à de la fatigue
Si je déprime, je ferai tout mon possible pour sortir de cet état grâce à ma capacité de résilience.
Alors, prêt à prendre soin de votre santé ?
Renforcez votre résistance au virus en challengeant votre corps
Il y a quelques semaines, j’ai regardé le film « Vivante » de Alexandre Ferrini dans lequel des individus ayant vécu des maladies difficiles retrouvent la force de vivre grâce à une reconnexion à la nature, à l’alimentation et à une certaine spiritualité.
Thierry Casasnovas les guide dans cette régénération corporelle et mentale en leur proposant de confronter leur corps à des conditions extrêmes sur une courte période pour le rendre plus fort et résistant (températures froides, jeûne, cardio..)
Grâce à cette mise à l’épreuve du corps, l’immunité s’en trouve renforcée.
Sauna, jogging, jeûne intermittent, rééquilibrage alimentaire…on peut tous stimuler son immunité au quotidien (en étant suivi si on le sent mieux !)
Pour ma part, j’applique ces principes, ce qui m’a permis de renforcer mon système immunitaire (bien sûr, je ne nie pas qu’une part de génétique puisse aider).
Aujourd’hui, en pleine pandémie, aucun gouvernement n’insiste sur ces règles de bases pour mieux combattre les virus au sein de notre organisme :
❗️Les joggeurs sont vus comme des cracheurs de venin
❗️Les salles de sport sont fermées
❗️La livraison à emporter bat des records
❗️Le stress et l’anxiété ont dévorés les Français depuis un an
Au lieu de cela, la politique menée prône tout l’inverse :
❌rester chez soi
❌vivre au gré des annonces incertaines et contradictoires
❌porter un masque toute la journée
❌ prendre les pilules magiques : anti-dépresseur, vaccins…
Donner un vaccin à une personne en situation de comorbidité, c’est comme mettre un anneau à un obèse : on ne règle pas le problème de fond, et pire encore, on l’aggrave :
🔹Le vacciné n’aura pas cherché à se défendre seul contre un virus qu’il n’aura pas contracté, il va dégager encore plus de charge virale, et ne sera pas immunisé contre les variants. S’ajoutent à cela les risques d’effets indésirables non négligeables à court ou long terme.
🔹L’obèse, à qui on aura coupé un bout d’intestin va rejeter toute nourriture ingurgitée en trop grande quantité, mais n’aura rien appris du sport ou du rééquilibrage alimentaire.
Pour être plus résistant, reconnectons-nous à notre corps !
Protégez les autres, mais si on apprenait autrui à se protéger lui-même ?
Depuis le début de la crise, on entend régulièrement qu’il faut protéger les autres.
Ce discours est encore plus récurrent que celui qui nous invite à nous protéger nous-même !
En l’écoutant, on pourrait se dire que c’est un acte citoyen que de protéger les autres.
Mais en y réfléchissant, pourquoi ne commençons-nous pas par apprendre aux autres à se protéger ?
Alors certes, nous ne sommes pas tous égaux face à la pauvreté ou à la maladie.
Mais avec un tel discours, le risque est de transformer la solidarité en assistanat.
Car en victimisant l’autre, on ne l’incite pas à se responsabiliser.
Et c’est ce qu’on a vu dans le cadre de la crise sanitaire, qui affecte gravement (à la louche) 5% maximum de la population, et qui empêche le reste de vivre.
Mais pourquoi ne pas inverser la tendance ?
Pourquoi ne pas prévenir les comorbidités avec de la prévention sur le plan nutritionnel et au niveau de l’activité physique ?
Pourquoi ne pas dire aux personnes dont le système immunitaire est fragile de se protéger avec un FFP2 lorsqu’il y a foule, et d’éviter les heures d’affluence pour les courses (ou bien de leur aménager quelques créneaux).
Car 95% de la population est en pleine forme sur le plan sanitaire. Mais la culpabilisation, le stress et les mesures liberticides affectent maintenant leur santé mentale, donc leur immunité.
Plus généralement, je suis influencée par l’époque dans laquelle je vis :
– Ma génération porte le poids des décisions environnementales catastrophiques
– Ma génération est tenue responsable du sort des générations futures
– Ma génération subit de plein fouet la précarité économique depuis des années
– Ma génération subit de plein fouet les restrictions sanitaires quand elle n’est que très peu touchée par le virus
Alors oui, mon regard est certes biaisé, mais j’appelle tout de même à plus de responsabilisation des citoyens et même des plus fragiles.
Cela ne veut pas dire qu’ils ne pourront pas être assistés économiquement ou sanitairement en cas de problème, mais qu’au quotidien, ils agissent pour leur santé.
Mais l’Etat peut en revanche agir, en accompagnant ces citoyens les plus fragiles et les plus exposés : en donnant coup de pouce pour l’achat de produits non transformés, ou une aide à la pratique sportive. Car oui, nous ne sommes pas égaux face à l’alimentation, ni face à la pratique sportive en club et un rééquilibrage du pouvoir d’achat permettra un rééquilibrage alimentaire et une meilleure forme physique.
Responsabiliser les citoyens ne veut pas dire les laisser tomber, mais les encourager à devenir plus résilients tout simplement.
Conclusion : la santé finit toujours par payer (en bien ou en mal)
Depuis le début de cette crise sanitaire, on pourra retenir une chose : la santé finit toujours par payer.
Concrètement, qu’est-ce que cela signifie ?
Que nous devons vivre notre santé comme un contrôle continu dans lequel le travail réalisé en amont finit par avoir des conséquences sur notre santé actuelle, et tout particulièrement dans un contexte viral.
C’est en partie comme cela que l’on peut expliquer notre immunité face à un virus.
5 facteurs contribuent ainsi à renforcer notre immunité :
– Manger équilibré
– Refuser la sédentarité
– Faire du sport
– S’organiser des sas de décompression
– Travailler sur son bonheur
Ces 5 facteurs sont essentiels et expliquent pourquoi certains tombent souvent malade et d’autres non.
Le problème, c’est que nous ne sommes pas éduqués à la santé ni au développement personnel. Et c’est fort regrettable quand ces deux paramètres renforcent notre immunité.
Bien sûr, il existe d’autres critères à ne pas négliger :
– Notre hérédité
– Notre comorbidité
– Notre degré d’hypocondrie
– Notre exposition au virus
– La saisonnalité des maladies
Mais c’est en principe votre hygiène de vie qui va vous permettre de limiter les formes graves si vous n’avez pas développé de comorbidité par le passé.
Bien sûr, on peut toujours trouver des exceptions que les médias aiment nous remettre au goût du jour. C’est le fameux Théo, 27 ans, en bonne santé et sans comorbidité qui finit en réanimation.
Certes, c’est triste, mais les études nous montrent que Théo reste une exception.
La règle, c’est de reprendre en main sa santé dès maintenant pour éviter de développer des formes graves du virus mais plus généralement, de n’importe quelle maladie !
Quant à moi, j’explique ma résistance au virus pour 4 principales raisons :
– Je cours depuis maintenant 15 ans (suite à une perte de 15 kg)
– Je fais attention à mon alimentation et à ma digestion
– Je n’ai pas peur du virus : pour moi, le Covid n’est même pas un sujet et ne figure pas dans ma liste de sources d’anxiété (les restrictions sanitaires plus !)
– Je n’ai jamais eu de grippe, de gastro ou autre virus ambiant
Et vous, travaillez-vous sur votre immunité au quotidien ?
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